28.6.17

Les essais réseaux sociaux de la contribution digitale à la JIFA 2017


Me voilà relancée pour la quatrième fois dans l'aventure de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine dont je vous ai brièvement parlé ici dernièrement, et qui est plus longuement abordé dans sa genèse technique grâce à l'article revue sur la création de site par Tyler Moore. C'est en effet, à sa vidéo que je dois l'inspiration pour la création du site de la JIFA. Autre illustration de comment des essais techniques peuvent conduire à développer une nouvelle compétence de manière tout fait fortuite et s’avérer perenne dans la durée.

Une des particularités de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine est qu'elle ne se déroule que sur la toile. De ce fait, elle obéit à une logistique différente. Le fait d'avoir choisi de changer d'équipe tous les ans est à la fois une chance et une contrainte qui demande également un renouvellement technique sur le site. Fort des expériences passées, je souhaite tenter de nouvelles choses qui impliquent soit d'apprendre à utiliser de nouveaux outils.

[ Les réseaux sociaux ]

Certains d'entre vous le savent, je ne suis une accro des réseaux sociaux que je trouve bien chronophage, souvent négatifs et distrayants. Ceci étant dit, difficile de faire sans si l'on souhaite relayer des informations et créer de nouveaux liens avec des personnes qui autrement ne découvriraient pas le site immédiatement. Me replonger dans ce bain via la JIFA est une sorte de préparation à me refamiliariser avec les médias sociaux avant le lancement du projet #AssoSolos2017 pour lequel j'ai déjà crée des comptes. Les essais que j'envisage pour les réseaux sociaux sont à la fois logistique et esthétique. 

Les groupes Facebook : dans le cadre de la JIFA, j'en ai crée plusieurs dans le but d'éviter la multiplication des mails, avec l'idée de concentrer les discussions dans un seul espace et enfin avec l'espoir de créer une synergie de groupe qui jusqu'ici a fait défaut aux éditions précédentes.   


Les Facebook Live : cette fonction n'existait pas lors de l'édition précédente, le fait que l'on puisse se diffuser en direct est une aubaine à saisir alors je vais la tenter, et d'après mes premières recherches, Facebook le permet aussi bien sur les profils, dans les groupes que sur les pages. 

Les vidéos Facebook : jusqu'ici la partie vidéo de la contribution passait exclusivement par You Tube pour des raisons de référencement essentiellement. Puisque Facebook propose également cette possibilité de poster directement sur les pages, je vais expérimenter cela et en mesurer l'incidence.  



Gestion alternée : Que ce soit la page Facebook, sur le compte Twitter, sur Google ou sur Instagram, l'idée est de faire participer tout le monde aux choix des publications pour avoir une réelle diffusion des 1001 visages de la femme africaine, et pas seulement celles qui sont inspirantes à mes yeux. Après une première tentative avortée en 2015, j'ai retentée avec plus de succès en 2016 l'expérience de la gestion alternée et tournante des réseaux sociaux. Un nouvel essai s'impose cette année, et je souhaite y associer tout le monde cette fois, et non plus seulement les filles comme je l'ai fais pour les éditions précédentes.

Voilà en substance, les quelques essais spécifiques aux réseaux sociaux, que je vais tenter dans le cadre de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine. Si découvrir des femmes africaines inspirantes vous intéresse, rejoignez-nous sur www.journeefemmeafricaine.com ou alors sur les différents réseaux sociaux associés à cette aventure Facebook, Google+, Twitter et Instagram. 

Vos avis, témoignages et expériences m'intéressent, alors partageons pour nous enrichir mutuellement. Avez-vous déjà été tentés les outils Facebook dont je parle ? Quid d'une animation à plusieurs sur les réseaux sociaux ? 

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